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Rapport d’analyse 2023 de Véloxygène sur les neuf axes principaux du plan vélo amiénois
🟧 Une contribution collective des usagers du vélo amiénois pour appuyer une mise en œuvre ambitieuse du plan vélo.
Suite à la présentation du Plan Vélo d’Amiens Métropole au Comité des Partenaires de la mobilité le 27 février 2023, nous avions salué les orientations globales affichées et communiqué nos points alertes et attentes complémentaires (notre courrier du 30 mars 2023).
Nous publions désormais, après l’avoir communiqué à la ville d’Amiens et à la Métropole, un rapport d’analyse sur les neuf axes d’aménagements envisagés du plan, réaffirmant notre positionnement global et pointant plus en détail nos attentes sur ces différents itinéraires.
Nous faisons le vœu qu’un maximum de ces remarques puissent être prises en compte afin de permettre une mise en œuvre du plan qui soit la plus ambitieuse possible. Nous espérons par ailleurs que cette publication permettra de développer les échanges en amont des projets entre notre association représentant les usagers cyclistes et les collectivités maitres d’ouvrages, échanges qui nous semblent indispensables à la bonne dynamique d’ensemble du plan.
2 réflexions sur “Rapport d’analyse 2023 de Véloxygène sur les neuf axes principaux du plan vélo amiénois”
SERRY Jean Pierre
vos remarques sont justifiées , tout semble aller dans le bons sens mais il serait aussi opportun de faire une campagne concernant un rappel sur les règles de circulation qui s’adressent aussi bien aux piétons,aux cyclistes, aux usagers de la trottinette , aux automobilistes . On pourra toujours mettre les moyens pour améliorer la circulation cycliste mais quand je vois au niveau de la citadelle le nombre d’étudiants qui traversent la chaussée sans se soucier de la couleur des feux , les yeux rivés sur les smartphones, les vélos qui slaloment sans se soucier des piétons. Pour l’instant l’automobiliste est verbalisé en cas d’infraction.Pour le piéton ou le cycliste rien
Bonjour,
Plusieurs fois dans le rapport il est rappelé la nécessité d’aménagement dédiés, en site propre. Qu’un trottoir avec un coup de peinture en forme de vélo, ça reste un trottoir, cela n’en fait pas une « voie verte sécurisée ». La rue Alexandre Dumas en est un bon (ou plutôt « mauvais ») exemple. Des bateaux (trottoir qui descend) à chaque entrée de parking/garage, voie étroite, potelets en travers du tracé, etc… Sans compter « l’habitude » donnée pour le cycliste de rouler sur quelque chose qui ressemble trait pour trait à un trottoir… Donc donnant signal que « rouler sur un trottoir, c’est accepté », alors que non.
Dans l’idéal, des aménagements dédiés supprimeront purement et simplement les « vélos qui slaloment sans se soucier des piétons » car sépareront les piétons des cyclistes.
Pour les campagnes de rappel du CdR, Amiens se permet déjà d’en faire. Il y a quelques mois place Gambetta, par exemple.
Même si, sur les tronçons partagés, faire de la prévention et de la sensibilisation est nécessaire. Mais ces tronçons partagés se doivent d’être le moins fréquent possibles. Une alternative cyclable rue de Noyon/des trois cailloux pour les cyclistes serait appréciée, afin de faire passer les cyclistes de transit par autre part qu’une voie piétonne.
Un piéton va marcher à 4~6km/h, là où la vitesse d’usage minimale d’un cycle est de 15~20km/h. Ils ne doivent pas partager leur voie de circulations car n’ont pas les mêmes vitesses d’usage. Et mettre en place des trottoirs partagés/voies vertes revient simplement à utiliser les cyclistes et piétons comme « variable d’ajustement » lors de réfection de chaussée qui sont encore majoritairement faites pour les véhicules motorisés sans prendre en compte les mobilités alternatives.
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vos remarques sont justifiées , tout semble aller dans le bons sens mais il serait aussi opportun de faire une campagne concernant un rappel sur les règles de circulation qui s’adressent aussi bien aux piétons,aux cyclistes, aux usagers de la trottinette , aux automobilistes . On pourra toujours mettre les moyens pour améliorer la circulation cycliste mais quand je vois au niveau de la citadelle le nombre d’étudiants qui traversent la chaussée sans se soucier de la couleur des feux , les yeux rivés sur les smartphones, les vélos qui slaloment sans se soucier des piétons. Pour l’instant l’automobiliste est verbalisé en cas d’infraction.Pour le piéton ou le cycliste rien
Bonjour,
Plusieurs fois dans le rapport il est rappelé la nécessité d’aménagement dédiés, en site propre. Qu’un trottoir avec un coup de peinture en forme de vélo, ça reste un trottoir, cela n’en fait pas une « voie verte sécurisée ». La rue Alexandre Dumas en est un bon (ou plutôt « mauvais ») exemple. Des bateaux (trottoir qui descend) à chaque entrée de parking/garage, voie étroite, potelets en travers du tracé, etc… Sans compter « l’habitude » donnée pour le cycliste de rouler sur quelque chose qui ressemble trait pour trait à un trottoir… Donc donnant signal que « rouler sur un trottoir, c’est accepté », alors que non.
Dans l’idéal, des aménagements dédiés supprimeront purement et simplement les « vélos qui slaloment sans se soucier des piétons » car sépareront les piétons des cyclistes.
Pour les campagnes de rappel du CdR, Amiens se permet déjà d’en faire. Il y a quelques mois place Gambetta, par exemple.
Même si, sur les tronçons partagés, faire de la prévention et de la sensibilisation est nécessaire. Mais ces tronçons partagés se doivent d’être le moins fréquent possibles. Une alternative cyclable rue de Noyon/des trois cailloux pour les cyclistes serait appréciée, afin de faire passer les cyclistes de transit par autre part qu’une voie piétonne.
Un piéton va marcher à 4~6km/h, là où la vitesse d’usage minimale d’un cycle est de 15~20km/h. Ils ne doivent pas partager leur voie de circulations car n’ont pas les mêmes vitesses d’usage. Et mettre en place des trottoirs partagés/voies vertes revient simplement à utiliser les cyclistes et piétons comme « variable d’ajustement » lors de réfection de chaussée qui sont encore majoritairement faites pour les véhicules motorisés sans prendre en compte les mobilités alternatives.